Archives par mot-clé : succès

Changer son état d’esprit pour transformer sa vie : Une nécessité incontournable

La transformation personnelle est un sujet qui fascine et intrigue de nombreuses personnes. Qu’il s’agisse d’atteindre des objectifs professionnels, de mener une vie plus saine ou d’améliorer ses relations, une chose est souvent essentielle : changer son état d’esprit. Mais pourquoi est-il si crucial de modifier notre manière de penser pour transformer notre vie ? Cet article explore cette question en profondeur, mettant en lumière la puissance de l’état d’esprit et les moyens de le transformer pour un impact durable.

L’état d’esprit : Qu’est-ce que c’est ?

L’état d’esprit peut être défini comme l’ensemble des croyances et des attitudes que nous entretenons à propos de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Ces croyances influencent profondément notre comportement, nos émotions et notre manière de percevoir les événements. Il existe principalement deux types d’état d’esprit : l’état d’esprit fixe et l’état d’esprit de croissance.

  1. État d’esprit fixe : Les personnes ayant un état d’esprit fixe croient que leurs capacités et leurs talents sont innés et immuables. Elles ont tendance à éviter les défis, à abandonner facilement face aux obstacles et à percevoir les efforts comme inutiles.
  2. État d’esprit de croissance : À l’inverse, les personnes avec un état d’esprit de croissance croient que leurs capacités peuvent être développées par l’effort, l’apprentissage et la persévérance. Elles voient les défis comme des opportunités d’apprendre et les échecs comme des étapes vers le succès.

Pourquoi changer son état d’esprit ?

1. Pour surmonter les obstacles

Un état d’esprit fixe peut nous empêcher de relever des défis, car nous croyons que nos capacités sont limitées. Cela nous conduit souvent à éviter les situations où nous pourrions échouer. En adoptant un état d’esprit de croissance, nous nous ouvrons à de nouvelles possibilités. Nous comprenons que les obstacles sont des opportunités d’apprentissage et que chaque échec nous rapproche du succès. Cette perspective nous permet de persévérer même dans les moments difficiles.

2. Pour améliorer notre résilience

La résilience, ou la capacité à rebondir après des difficultés, est essentielle pour naviguer les hauts et les bas de la vie. Un état d’esprit de croissance nous aide à voir les échecs comme des expériences temporaires et modifiables. Nous apprenons à nous adapter, à chercher des solutions et à ne pas nous laisser abattre par les revers.

3. Pour développer des compétences et des talents

Adopter un état d’esprit de croissance nous encourage à investir du temps et des efforts dans le développement de nos compétences. Nous devenons plus enclins à essayer de nouvelles choses, à demander des feedbacks et à nous engager dans un apprentissage continu. Avec cette mentalité, nous pouvons transformer des talents potentiels en compétences réelles et utilisables.

4. Pour améliorer notre bien-être mental

Les croyances que nous entretenons influencent fortement notre bien-être mental. Un état d’esprit fixe peut entraîner du stress, de l’anxiété et une faible estime de soi, surtout lorsque nous nous comparons aux autres. En revanche, un état d’esprit de croissance favorise une attitude plus positive, nous permettant de voir les défis comme des opportunités plutôt que comme des menaces. Cela réduit le stress et améliore notre sentiment de satisfaction et d’accomplissement.

Comment changer son état d’esprit ?

1. Prendre conscience de ses croyances

Le premier pas pour changer son état d’esprit est de prendre conscience des croyances limitantes que nous entretenons. Il peut être utile de tenir un journal pour identifier les pensées négatives récurrentes et les situations où nous adoptons un état d’esprit fixe. Cette prise de conscience est essentielle pour commencer à modifier nos pensées.

2. Remplacer les croyances limitantes par des croyances positives

Une fois que nous avons identifié nos croyances limitantes, nous pouvons commencer à les remplacer par des croyances positives. Par exemple, au lieu de penser « Je ne suis pas doué pour ça », nous pouvons nous dire « Je peux m’améliorer avec de la pratique et des efforts ». Cette reprogrammation de nos pensées nécessite de la patience et de la persévérance, mais elle est cruciale pour transformer notre état d’esprit.

3. Embrasser l’apprentissage et le développement continu

Adopter un état d’esprit de croissance implique de voir l’apprentissage comme un processus continu. Nous devons être ouverts à essayer de nouvelles choses, à sortir de notre zone de confort et à accepter que l’apprentissage implique parfois de faire des erreurs. Participer à des formations, lire des livres, et chercher des mentors sont autant de moyens de nourrir cette mentalité.

4. Pratiquer la gratitude et l’auto-compassion

La gratitude et l’auto-compassion sont des outils puissants pour cultiver un état d’esprit de croissance. Prendre le temps de reconnaître et d’apprécier nos progrès, même les plus petits, nous encourage à continuer. De plus, être compatissant envers nous-mêmes en cas d’échec nous aide à ne pas nous décourager et à persévérer dans nos efforts.

5. S’entourer de personnes positives

Les personnes avec qui nous passons du temps influencent fortement notre état d’esprit. S’entourer de personnes positives, qui encouragent l’apprentissage et la croissance, peut nous aider à maintenir un état d’esprit de croissance. Ces personnes peuvent nous offrir du soutien, des conseils et des encouragements lorsque nous en avons le plus besoin.

Changer son état d’esprit est une nécessité incontournable pour transformer sa vie. En adoptant un état d’esprit de croissance, nous pouvons surmonter les obstacles, développer notre résilience, améliorer nos compétences, et augmenter notre bien-être mental. Ce processus demande de la conscience, de l’effort et de la persévérance, mais les récompenses sont immenses. En changeant notre manière de penser, nous changeons non seulement notre perception du monde, mais aussi notre capacité à façonner notre propre destin. Alors, commençons dès aujourd’hui à cultiver un état d’esprit de croissance pour ouvrir la porte à un avenir rempli de possibilités et de succès.

Comment Maîtriser sa Voix pour se Faire Entendre en Public ?

Parler en public est une compétence essentielle dans de nombreux aspects de la vie professionnelle et personnelle. Cependant, l’un des plus grands défis pour beaucoup est de maîtriser leur voix de manière à être clairement entendu et compris par l’audience. La capacité de contrôler et d’utiliser efficacement sa voix peut non seulement renforcer la confiance en soi, mais aussi améliorer la capacité à communiquer des messages de manière persuasive et mémorable. Cet article explore des techniques et des stratégies pour maîtriser sa voix et maximiser l’impact en public.

Comprendre les Fondamentaux de la Voix

Votre voix est un instrument qui, comme tout autre, nécessite un entretien et une pratique réguliers. Comprendre les bases de la production vocale est essentiel. La voix est produite par la vibration des cordes vocales dans le larynx lorsque l’air expiré des poumons les traverse. Cette vibration crée du son, qui est ensuite modulé par la cavité buccale, le nez, et la gorge pour produire la parole.

Techniques de Respiration

La maîtrise de la respiration est fondamentale pour contrôler sa voix. Une respiration profonde et contrôlée permet non seulement de détendre le corps avant de prendre la parole, mais aussi d’assurer une alimentation constante en air pour maintenir la voix stable et claire. Pratiquer des exercices de respiration, comme la respiration diaphragmatique, peut aider à améliorer la capacité à soutenir la parole avec une respiration adéquate.

Projection et Volume

La capacité à projeter sa voix est cruciale pour être entendu en public. La projection ne signifie pas crier, mais plutôt utiliser la force de l’air expiré pour augmenter le volume de la voix sans tension. Cela implique une utilisation efficace du diaphragme et un contrôle de la respiration. Des exercices de projection peuvent aider à trouver le volume optimal pour parler en public sans fatiguer les cordes vocales.

Clarté et Articulation

La clarté de la parole est essentielle pour la compréhension. L’articulation des mots et la prononciation claire sont des éléments clés pour éviter les malentendus et maintenir l’attention de l’auditoire. Des exercices d’élocution et d’articulation, tels que la répétition de virelangues ou la lecture à haute voix, peuvent améliorer la précision de la parole.

Modulation et Intonation

La voix monotone peut rapidement lasser l’audience, tandis qu’une voix modulée et avec une intonation variée capte l’attention. Varier le rythme, le volume et la hauteur de la voix peut rendre le discours plus intéressant et dynamique. L’intonation peut également être utilisée pour souligner des points importants ou pour transmettre différentes émotions, renforçant ainsi le message.

Pratique et Préparation

La maîtrise de la voix en public nécessite de la pratique. Se préparer à l’avance et répéter son discours plusieurs fois peut aider à se familiariser avec le contenu et à gérer les aspects vocaux de la présentation. L’enregistrement de soi pendant la pratique et l’écoute critique peuvent révéler des domaines nécessitant des améliorations.

Gestion du Trac

Le trac peut affecter la voix, causant une respiration rapide, une voix tremblante ou un blocage. Apprendre à gérer le stress et l’anxiété avant de parler en public est essentiel. Des techniques de relaxation, comme la méditation ou les exercices de respiration profonde, peuvent aider à calmer les nerfs et à stabiliser la voix.

Prendre Soin de sa Voix

Maintenir sa voix en bonne santé est crucial pour une performance vocale optimale. Cela comprend l’hydratation régulière, l’évitement des irritants tels que le tabac ou l’alcool, et le repos vocal si nécessaire. Une voix saine est plus facile à contrôler et moins susceptible de se fatiguer.

Feedback et Amélioration Continue

Recevoir des commentaires constructifs de la part des pairs ou d

‘un coach vocal peut fournir des insights précieux pour améliorer la maîtrise de sa voix. Être ouvert aux critiques et prêt à travailler sur les zones faibles est essentiel pour le développement vocal.

Conclusion

Maîtriser sa voix pour se faire entendre en public est un art qui requiert compréhension, pratique, et dévouement. En développant une respiration contrôlée, en projetant sa voix, en articulant clairement et en modulant l’intonation, vous pouvez augmenter significativement votre impact en tant qu’orateur. La clé du succès réside dans la préparation, la pratique régulière et une attention constante à la santé vocale. Avec ces outils en main, vous serez bien équipé pour captiver et engager votre audience, quel que soit le contexte.

Au Club Positif, nous savons à quel point progresser dans la prise de parole en public est un effort qui porte ses fruits : le fondateur du Club a commencé sa carrière en étant animateur/formateur, il a enchaîné les formations dans les grandes entreprises et pour les particuliers. Il a aussi tenu la scène devant la salle remplie du Palais des Congrès à Paris.

Vous pouvez retrouver un livre plus complet qui va vous apprendre les secrets de la prise de parole en public sur la boutique.

Avez vous les bonnes habitudes ? Toutes les bonnes habitudes ?

Nous sommes des êtres d’habitudes, ce qui nous permet de faire plus vite les choses que si nous devions à chaque fois réinventer la manière de faire.

Certaines habitudes sont néfastes, d’autres au contraire sont bénéfiques et nous permettent d’aller plus loin.

Quelles sont ces habitudes qui mènent au succès et que nous pouvons mettre en place ?

Dans « Les 50 habitudes de ceux qui réussissent » l’Académie Personnelle du Succès a recensé les meilleures habitudes qui aident ceux qui réussissent à enchaîner leurs succès, même quand ils passent par des difficultés.

Retrouvez ces 50 habitudes en versions PDF, Kindle mais aussi en livre audio et appliquez la méthode pour vous aussi mettre en place ces bonnes habitudes qui vous mèneront au succès.

Car il ne s’agit pas que de « savoir ». Savoir n’est rien si on ne passe pas à l’action. Les grands hommes et les grandes femmes sont des personnes qui agissent, qui laissent une marque dans l’univers.

Dans cette méthode vous apprendrez aussi à changer vos habitudes par vous-même pour adopter celles qui vont vous faire progresser.

Un livre audio à copier sur votre smartphone pour l’écouter, le réécouter et mettre en place quotidiennement les meilleures habitudes dont vous avec besoin pour atteindre vos objectifs dans votre vie personnelle, spirituelle mais aussi professionnelle bien sûr.

Rien que la deuxième habitude est une pépite qui vous permettra de changer votre monde et la façon de le voir.

Les 50 habitudes de ceux qui réussissent – ebook+audiobook

EnregistrerEnregistrer

Procrastination, ou l’art de la gratification immédiate

Procrastination

La procrastination, c’est le fait de reporter au lendemain les choses que l’on pourrait ou devrait faire le jour même.

Cette habitude de procrastination n’est bien évidemment pas nouvelle, mais est de plus en plus dans l’air du temps depuis les années 80. D’ailleurs, même s’il est de plus en plus utilisé, ce mot compliqué à 5 syllabes reste assez éloigné du langage courant, celui que l’on utilise à la maison ou pendant son éducation.

© Rennett Stowe

C’en est au point qu’une journée mondiale de la procrastination a été créée en 2015 (le 23 mars de chaque année). J’ai donc énormément procrastiné avant d’écrire cet article sur le sujet, au point de rater l’échéance 😉

Qu’est-ce que la véritable procrastination ? Est-ce le fait de se dire « Je ferai cela demain » ?

Non, c’est beaucoup plus pernicieux.

Le piège de la gratification immédiate

J’aime beaucoup l’article de Tim Urban (en anglais seulement, disponible sur son site WaitButWhy), et les dessins avec le petit singe de la gratification instantanée qui prend le contrôle de ce que fait une personne. Car il explique en images ce qui se passe vraiment dans notre cerveau quand nous procrastinons :

au lieu de prendre une décision rationnelle (je ferai cela à tel moment), nous dérivons, nous allons dans un état second, celui de la gratification immédiate, qui nous fait dévier de notre objectif initial.

Le problème de la gratification instantanée est-il un problème plus présent aujourd’hui ? C’est en tout cas mon opinion : nous voulons tout maintenant, et nous préférons vivre dans un monde de gratification instantanée ou toutes nos pulsions doivent avoir une satisfaction immédiate.

Le problème, c’est comme avec les drogues : satisfaire une pulsion instantanée ne fait pas disparaître le fait que l’on a des pulsions, au contraire cela les renforce. Nous sommes de plus en plus prêts à satisfaire ses pulsions rapidement pour avoir le « hit » de ladite pulsion, mais nous nourrissons en même temps notre culpabilité, et nous ne nous protégeons pas contre les pulsions futures.

En suivant notre petit singe de la gratification instantanée une fois, nous lui donnons l’habitude de devenir le Maître.

Quand cette habitude s’installe, elle s’installe pour de bon comme la plupart des habitudes. Et il devient de plus en plus dur de la combattre. Au point que nous pouvons nous retrouver dans un cercle vicieux de procrastination.

À quel moment arrête-t-on de procrastiner ?

Il y a des moments où la procrastination doit s’arrêter : par exemple j’ai passé 2 semaines à me dire qu’il faudrait que je ressorte la carte grise de ma voiture car je la revendais, et bon, c’est quand même bien d’avoir la carte grise pour la barrer et la donner à l’acheteur.

Mais il fallait que je me lève, et il y avait certainement quelque chose de plus intéressant à lire sur Facebook, sur Twitter, un petit truc à faire ici ou là.

Résultat des courses : la veille du rendez-vous je me suis mis en mode panique pour retrouver les papiers de ma voiture. Et encore plus en mode panique quand j’ai réalisé qu’ils n’étaient pas à l’endroit où ils sont censés être.

4 heures. Il m’a fallu 4 heures pour les retrouver. Et je peux vous dire que j’ai culpabilisé pendant ces 4 heures. Sur mes méthodes de rangement, sur le fait de ne pas m’en être préoccupé avant, sur ma paresse, ma flemme, non, ma procrastination…

Mon exemple est commun : le nombre de fois où l’on doit faire quelque chose, mais on se laisse aller à des gratifications plus immédiates, plus rapides, mais pas forcément aussi complètes. Et au dernier moment… la panique, les choses à faire rapidement, les révisions de dernière minute quand on était étudiant, le rapport torché de 22h à 2h du matin quand on doit le remettre le lendemain à son responsable…

Ça vous dit quelque chose ?

Reporter au lendemain = reporter à jamais

Un autre effet de cette procrastination, c’est qu’il devient de plus en plus difficile d’agir à moyen et long terme.

À partir du moment où on a pris ces mauvaises habitudes de satisfaire la gratification immédiate et de réagir au dernier moment, on rétrécit son champ de vision, on ne planifie plus, on arrête d’agir à long terme.

Nous arrivons alors dans la tyrannie du présent.

Attention, je n’utilise pas ce terme en disant qu’il ne faut pas profiter de l’instant présent. De la même manière qu’il ne faut pas toujours se projeter dans l’avenir. Il faut avoir la vue sur l’un et sur l’autre. Goûter le plaisir d’un pamplemousse acidulé ou d’un kumquat parfaitement mûr, mais penser à tailler les branches de l’arbre pour que l’année suivante les pamplemousses ne cassent pas ces branches.

La tyrannie du présent, c’est être uniquement en mode action/réaction. Comme si vous portiez des lunettes qui rétrécissaient votre champ de vision en largeur mais aussi en profondeur.

Il y a aussi la tyrannie de la planification, des listes de choses à faire, des to-do lists. Dans le Journal du Succès, j’ai mis quelques pages de To-do lists, mais pas plus de 4, car je ne veux pas que l’usage de la to-do list, cette liste de chose à faire, devienne une habitude qui crée un nouveau problème alors qu’elle doit apporter une solution.

Car planifier, vivre dans son cerveau les choses que l’on doit faire, les choses que l’on va faire, c’est un bon moyen de ne pas les faire, tout en ayant à nouveau une gratification : « Je n’ai encore rien fait, mais je sais maintenant comment je pourrai faire si je devais le faire, … ce qui n’est en fait pas le but de ma liste ».

Seule l’action réelle vous permet d’accomplir le changement, le projet, la réalisation des rêves qui vous tiennent à cœur.

Reste que le fait de prévoir des étapes, un chemin pour accomplir ce que vous devez faire permet de réveiller votre volonté d’atteindre une étape à un moment donné.

Il faut prendre des engagements dans le temps avec nous-mêmes pour combattre le danger de la gratification immédiate et du manque d’action. Car il est bien trop facile de tomber dans ces travers, pour se lamenter après quand on se rend compte qu’on a rien accompli (avec les aspects négatifs que cela a en plus sur notre estime de soi).

Ne plus procrastiner, jour après jour

C’est en analysant tous ces travers qui nous attendent sur notre chemin, tous ces obstacles qui n’attendent qu’à bloquer notre route, toutes ces mauvaises habitudes qu’il faut remplacer par de bonnes habitudes que j’ai conçu le journal du succès :

  • prendre en compte ses objectifs à court et moyen terme plutôt que seulement ceux à très court terme
  • créer une réelle gratification pour la réalisation des objectifs, une gratification plus réelle et plus importante que celle instantanée qui nous menace chaque jour.
  • préciser chaque semaine les objectifs de la semaine pour savoir où l’on doit aller, et en même temps avoir des échéances à respecter
  • trouver une motivation dans la gratification plus consistante qui consiste à accomplir ce que l’on veut accomplir (au lieu de se laisser mener par le bout du nez).

Le danger de la procrastination, c’est la drogue de la procrastination. Comme toute dépendance, s’en débarrasser passe par le fait de progresser pas à pas, jour après jour pour lui poser des pièges, la combattre, et enfin la vaincre.

Pour que vous puissiez aussi travailler sur la procrastination, je vous invite à rajouter dans les commentaires les moments, les têches, les objectifs face auxquels vous avez tendance à procrastiner, ou les échéances plus importantes que vous n’avez pas réussi à assumer.

Qu’est-ce qui vous a permis de dépasser cette limite ?

Comment gérez-vous au jour le jour cette tendance à procrastiner et faites vous des progrès ou est-ce une tâche quotidienne ?

Mes conseils de lecture

Pourquoi lire des livres ? Pourquoi en parler ? Parce que les livres vous permettent d’accéder directement à l’intelligence et l’expérience de leurs auteurs. Que c’est LA meilleure manière d’apprendre les choses et que franchement, le livres ça coûte rien par rapport à ce que cela vous apporte.

Voici donc une sélection des livres que j’ai lus récemment et que je vous invite à découvrir vous aussi. Je vous fais grâce des romans, thrillers et autres que j’ai aussi lus. Variez vos lectures, elles n’en seront que plus riches.

Le succès selon Jack

de Jack Canfield

http://amzn.to/2kaOIva

Je n’ai pas lu la version française brochée, la seule version en français, mais la version anglaise numérique. Ceci mis à part, un excellent livre très complet sur les manières de construire votre succès vous-même, de manière progressive, et dans tous les domaines de votre vie.

Ayant lu déjà beaucoup de livres de développement personnel, les principes du succès qu’il détaille m’étaient déjà connus. Mais la manière de les présenter et de les synthétiser rendent ce livre agréable à lire, utile et directement pratique. Si vous ne trouvez pas des choses que vous pouvez mettre en œuvre à chaque chapitre, nous n’avons pas lu le même livre !

Personal MBA

de Josh Kaufman

http://amzn.to/2jwWq1h

Pas une première lecture, mais une (re)lecture : car les livres vous pouvez les relire et en profiter une seconde fois. Et celui-ci est excellent, pour ce qui est du domaine du travail, de l’entreprise, des affaires.

Franchement, si j’avais pu le lire avant de faire mon école de commerce, il y a 20 ans, j’aurais évité de faire celle-ci, ou je me serais concentré sur les autres livres que Josh Kaufman recommande. Rien que sa manière très synthétique et conceptuelle de décrire une entreprise me sert tous les jours pour recentrer mon attention sur les choses qu’il faut que j’améliore :

Toute entreprise à succès 1) crée ou distribue quelque chose de valeur 2) que d’autres individus désirent ou ont besoin d’obtenir 3) à un prix qu’ils acceptent de payer, d’une manière qui 4) satisfait les besoins et les attentes de l’acheteur et 5) qui rapporte suffisamment pour que les propriétaires de l’entreprise aient intérêt à la maintenir en activité

Donc personnellement, je me concentre sur la création de valeur et le marketing, en ayant automatisé les autres aspects de l’entreprise (vente, livraison, comptabilité). C’est d’ailleurs ce qu’il y a de plus intéressant, la création de valeur.

J’ai récemment vu un podcast vidéo avec Josh Kaufman. Il est en train de travailler sur la productivité et les habitudes de vie. Un sujet qui me passionne et pour lequel j’attend son prochain livre, car je suis intimement convaincu que :

Les gens ne décident pas de leur futur. Ils choisissent des habitudes et celles-ci décident de leur futur.

F.M. Alexander

Comment avoir plus de temps et plus d’argent pour réaliser vos rêves

de Tim Jones

http://amzn.to/2kaUexK

Je ne suis pas partisan de passer ma vie à examiner celle-ci, mais j’aime bien prendre du temps régulièrement pour relever la tête, voir où je suis, où je vais, comment j’y vais. Et vous ?

Réaliser ses rêves, c’est exactement l’objectif que nous avons tous, et parfois nous sommes bloqués par les obligations que nous avons acceptées ou que nous nous sommes imposées. Dans ce livre, Tim Jones nous propose une approche contre-intuitive. Plutôt que de peiner pour avoir quelque chose à la fin, travaillons aujourd’hui dans nos rêves, afin que notre parcours de vie soit celui que nous souhaitons.

Un excellent livre pour se reposer des questions essentielles et relever la tête.

The One Thing

de Gary Keller

http://amzn.to/2ksTcdO

Malheureusement plus disponible en français, ce livre, je l’ai lu avec le crayon à la main. Ils avaient déjà souligné des choses dans ce livre, mais j’ai rajouté mes propres commentaires :

Vous pouvez avoir du succès avec moins de discipline que vous ne le pensez, pour une bonne raison : le succès repose sur le fait de bien faire la bonne chose, pas de faire tout correctement.

Faire deux choses à la fois, c’est n’en faire aucune

Les listes de choses à faire sont longues. Les listes de succès sont courtes. Si votre liste de choses à faire contient plein de choses, elle va certainement vous amener à faire plein de choses, sauf celles que vous voulez vraiment réaliser.

Une lecture que je recommande chaudement, même si les aspects pratiques, la méthodologie et la mise en œuvre sont un peu légères (voire inexistantes).

Il fait partie de ces livres que justement je vous invite à relire régulièrement. Nous avons tous besoin d’un peu plus de focus sur les choses qui sont vraiment importantes pour notre bonheur et notre succès, jour après jour.

De manière assez amusante, on y retrouve les domaines de notre vie, une liste très proche de celle que j’ai évoquée dans Votre vision et vos objectifs :

  • la vie spirituelle/personnelle
  • notre santé physique
  • nos relations
  • nos loisirs et récréations
  • notre activité professionnelle
  • nos finances

En séparant ces domaines de notre vie, vous pouvez agir plus intentionnellement pour améliorer celle-ci dans les domaines qui en ont vraiment besoin.

J’espère que ma petite liste de lecture vous donnera vous aussi de lire d’autres livres de développement personnel que ceux du Club Positif. Si vous avez d’autres conseils à donner aux membres, n’hésitez pas à les laisser dans les commentaires.

Accomplir sa vie : Mettre en place les bonnes habitudes

Après avoir vu votre identité, vos rôles et valeurs il y a deux jours, et avoir progressé pour en tirer vos objectifs à long, moyen et court terme hier, nous allons travailler sur vos pratiques quotidiennes.

Pourquoi des pratiques quotidiennes et pas de gros changements ?

Pourquoi se limiter à de petits changements et ne pas prendre des bonnes résolutions majeures pour l’année qui vient ?

Parce que les résolutions de l’année, ça ne fonctionne pas. En tout cas, cela ne fonctionne pas bien.

Voyez-vous, ces résolutions sont un exercice de la volonté. Et votre volonté est comme la mienne, comme celle de n’importe qui : elle s’épuise. Vous ne pouvez pas compter dessus comme sur la prise de courant que vous avez chez vous, qui dans 99% des cas vous fournira le jus dont vous avez besoin.

Elle est au summum quand on commence quelque chose, puis elle s’éteint tout doucement au fur et à mesure de la journée. Certains jours, vous êtes plein de volonté, d’autres non.

À l’inverse, la pratique quotidienne ne réclame pas de volonté. Vous avez tracé la voie, vous avez créé l’habitude. Elle se fait naturellement, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige, que vous soyez en vacances ou au travail.

Et mettre en place une pratique quotidienne réclame beaucoup moins d’efforts que maintenir une discipline et une volonté de fer.

D’ailleurs, vous n’avez pas besoin de discipline non plus. On a parfois l’impression que ceux qui réussissent ont une discipline incroyable, qu’ils suivent toujours le même plan. Pourtant, ce n’est pas cela qu’ils ont fait : ils ont pris les bonnes habitudes, qui ne les forcent pas à faire quelque chose, mais les libèrent pour en faire d’autres.

Et quand je dis prendre la bonne habitude, je dis bien LA. Si vous parvenez à réduire tout ce que vous devez faire à une seule habitude, une seule pratique quotidienne, ce sera plus facile et plus efficace.

Pratiquement, comment créer les bonnes habitudes ?

Déjà, il faut savoir où vous en êtes.

Il faut savoir où vous avez du temps, de la place pour mettre de bonnes habitudes.

Il faut surtout juger sur pièce pour connaître vos habitudes actuelles et savoir comment vous disposez de votre temps.

Vous allez donc commencer par quelque chose de rébarbatif et détaillé. J’en suis désolé, mais vous devez passer par là…

Prenez 7 feuilles de papier et pendant 7 jours, vous allez noter ce que vous faites, à quelle heure.

  • à quelle heure vous vous levez
  • combien de temps vous prenez pour vous préparer le matin,
  • quelle est la première chose que vous faites
  • le temps que vous passez à vos différentes activités
  • à quelle heure vous vous couchez…

Soyez précis en prenant une granularité importante : toutes les 15 minutes, pas toutes les heures ou toutes les demi-journées.

Pourquoi 7 jours ? Parce qu’ainsi vous pourrez établir une moyenne, avoir un panorama complet d’une semaine.

Qu’est-ce que cet exercice va vous apporter ? De la clarté, une vision claire de comment vous passez réellement votre temps. On peut avoir une image mentale de ce à quoi on passe son temps, mais cette image mentale est-elle véridique ou influencée par ce qu’on veut avoir fait ?

Avec cet exercice, vous pourrez juger sur pièce.

Rien qu’une petite chose : la télévision. Vous pourrez savoir combien de temps vous perdez, vous gâchez, vous jetez à la fenêtre en regardant la télévision. Vu les moyennes françaises établies par l’INSEE, vous risquez d’être désagréablement surpris(e).

Appliquer un petit changement par jour

Pendant ces 7 jours, vous allez aussi essayer d’appliquer un changement par jour dans chacune des sphères de votre vie.

Je vous rappelle ces 6 sphères : votre vie spirituelle/personnelle, vos relations, votre vocation, vos loisirs, vos finances, votre santé physique.

Ce petit changement, ce petit exercice de volonté doit être une conséquence directe de ce que vous avez noté les jours précédents. Cela doit rester dans les limites que vous avez définies.

Un exemple personnel sur ma santé physique : je dois faire plus d’exercice, et des exercices doux. Cette semaine, j’ai recommencé à faire une promenade quotidienne de 30 à 45 minutes. J’ai déplacé l’horaire de cette promenade pour la mettre en fin de matinée au lieu du début d’après-midi.

En effet, la promenade rentrait en conflit avec la sieste de 20 minutes !

Alors vous pensez que je ne fais rien : promenade, sieste… Au contraire, bien au contraire. Pendant cette promenade, je pense, je réfléchis, je m’accorde du temps pour moi-même et je prévois ce que je vais faire pendant le reste de la journée, en plus de ce que je fais régulièrement tous les matins.

Quant à la sieste, je me suis rendu compte que j’avais besoin de recharger les batteries pour pouvoir être efficace pour le reste de la journée. Je m’en suis rendu compte il y a bien longtemps. Pendant mon service militaire, j’allais faire la sieste 20 minutes dans les toilettes.

Donc après la sieste, au lieu d’être à 50% de mes capacités, je suis revenu à 80 ou 90% de mes capacités. Le cerveau se fatigue, a besoin d’énergie et de repos. C’est comme le témoin de charge d’un téléphone mobile : au cours de la journée, sa capacité se vide.

Alors, oui, ce petit changement, cette pratique quotidienne va être un effort de volonté pendant plusieurs jours. Mais la volonté nécessaire pour continuer cette pratique quotidienne décroît chaque jour : chaque jour c’est plus facile de faire ce qu’on a fait la veille.

Plusieurs études montrent qu’il ne faut qu’un certain nombre de jours pour mettre en place une pratique quotidienne qui ne réclame que très peu de volonté. Aucune étude n’est d’accord sur le nombre de jours, et c’est bien normal, car cela va forcément dépendre de la pratique quotidienne à mettre en place.

Enfin, pour en finir sur l’impact des pratiques quotidiennes, je citerai F.M. Alexander :

Les gens ne décident pas de leur futur. Ils choisissent des habitudes et celles-ci décident de leur futur.

Quelques exemples

Pour vous aider à mettre en place des pratiques quotidiennes, voici une liste à la Prévert de choses que vous pouvez faire. Trouvez celles qui correspondent à vos objectifs et mettez-les en place :

  • Méditer 15 minutes par jour
  • Rédiger dans un journal
  • Faire de la relaxation alpha
  • Lire ou écouter des textes de développement personnel ou d’inspiration
  • Choisir d’être heureux et d’avoir de la gratitude
  • Arrêter les sodas
  • Se lever toutes les 25 minutes de son bureau pour marcher quelques minutes
  • Avoir un bureau assis-debout
  • Aller faire une promenade de 15 minutes à la pause déjeuner
  • Faire une partie du trajet maison-travail à pied
  • Télécharger une application de course à pied sur son smartphone (je vous conseille 3,2,1 Run)
  • Prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur
  • Avoir un moment privilégié avec vos enfants ou votre époux/se (par exemple une sortie en amoureux le jeudi soir)
  • Encourager ouvertement un ami
  • Ne pas être critique, ironique ou désagréable envers les autres, tous les autres (et surtout ceux qui sont moins bien lotis que vous)
  • Ranger son téléphone quand on est avec quelqu’un, et ne pas y toucher
  • Choisir un livre plutôt que la télévision pour vos loisirs
  • Vous coucher 15 minutes plus tôt que ce que vous avez fait la semaine dernière
  • Travaillez avec vos mains pendant vos loisirs si vous gagnez votre vie avec votre esprit, travaillez avec votre esprit pendant vos loisirs si vous avez un travail plus manuel.
  • Éliminez les distractions de votre travail : Twitter, Facebook, concentrez les sur une période de la journée. Idem pour les emails.
  • Créez un rendez-vous avec vous-même de 30 minutes à une heure pour faire LA chose la plus importante de votre journée de travail le matin. Bloquez ce temps sur votre agenda.
  • Vous ne vous définissez pas parce que vous possédez, mais par ce que vous êtes. N’achetez pas des choses dont vous n’avez pas besoin.
  • Constituez-vous un matelas financier pour les mauvais jours ou pour les grands jours (voyages, événements familiaux)
  • Débarrassez-vous de vos dettes en mettant de côté chaque jour de quoi rembourser le principal en plus de payer les intérêts
  • Dépensez votre argent en expérience plutôt qu’en choses
  • Donnez les choses dont vous n’avez plus besoin, ou vendez-les pour une somme raisonnable.

Il y a des milliers d’autres choses que vous pouvez faire pour créer les bonnes habitudes et les bonnes pratiques quotidiennes. Cette liste n’est là que pour vous motiver à trouver les nouvelles habitudes que vous devez mettre en pratique pour vous.

Vous ne changerez pas votre vie tant que vous ne changez pas quelque chose que vous faites quotidiennement. Le secret de votre succès se trouve dans votre routine quotidienne.

John C. Maxwell

Et rappelez-vous : dites non. Non aux nouvelles habitudes qui ne vont pas changer votre vie de manière assez importante, non aux choses qui gâchent votre temps sans vous fournir du plaisir ou de la réalisation en échange, non aux activités ou aux tâches qui ne correspondent pas à vos rôles, vos valeurs, votre identité.

Un objectif qui n’est pas écrit noir sur blanc est un rêve. Les rêves, c’est bien, mais à la fin de sa vie, on veut pouvoir dire « j’ai vécu », pas « j’ai rêvé que je vivais ».

Faites ce bilan et appliquez ces quelques principes : vous serez sur la meilleure voie pour faire de 2017 la meilleure année de votre vie.

Si ces trois articles vous ont permis de mettre en place les bonnes fondations pour vous, vos commentaires sont appréciés. Mieux encore, partagez-les avec les personnes qui pourront en tirer parti à leur tour.

Accomplir sa vie : Définir votre vision et vos objectifs

Le travail que vous avez fait hier sur votre identité, vos relations, vos rôles et vos valeurs est la fondation qui va vous permettre de définir votre vision et de concrétiser celle-ci en objectifs.

Là encore, la démarche que vous devez accomplir pour écrire noir sur blanc votre vision est simple. Tellement simple qu’on se demande souvent pourquoi on n’y a pas pensé auparavant.

Car en déterminant votre identité, vos rôles et vos valeurs, vous avez commencé à exprimer votre vision de vie.

Votre vision

Votre vision, l’aspiration vers laquelle vous tendez est quelque chose qui doit se révéler quand vous rentrez vraiment dans l’âge adulte. On peut même penser que cette révélation est parallèle à la crise de la quarantaine (quand cette vision ne se réalise pas ou implique de laisser de côté une partie de son insouciance infantile).

Votre vision ne dépend pas de ce que vous êtes aujourd’hui, de vos finances, de votre carrière. Elle existe en dehors des contingences.

Mais la définir n’est pas forcément très facile. On tâtonne, au début, puis on affine, on redéfinit. Notre identité, nos responsabilités et nos valeurs sont là pour nous aider à la définir avec plus de précision.

Reprenez ce que vous avez écrit hier, et mettez-le en action avec ce modèle de phrase :

« Dans mon rôle en tant que (mettez un des rôles que vous avez définis), je veux transmettre et personnifier les valeurs de (mettez les valeurs que vous avez mises en avant hier) en (mettez la description de vos valeurs comme préparée hier) »

Voilà qui va vous fournir une bonne base pour écrire et définir votre vision, votre aspiration pour votre vie.

Prenez maintenant le temps de noter noir sur blanc votre vision avant de continuer à lire cet article.

Les sphères de notre vie et vos objectifs

Nous sommes un et nous sommes plusieurs en même temps.

Nous avons aussi plusieurs sphères dans notre vie, des sphères qui n’ont pas la même importance au cours du temps.

Ces 6 domaines d’application sont :

  • la vie spirituelle/personnelle
  • notre santé physique
  • nos relations
  • nos loisirs et récréations
  • notre activité professionnelle
  • nos finances

Certaines périodes de notre vie voient une sphère prendre plus d’importance que d’autres. Les périodes de vacances sont un exemple typique où notre sphère « vocationnelle », notre activité professionnelle, a moins d’importance, et nos activités de loisirs beaucoup plus. Mais c’est aussi vrai pour les relations, notre forme et santé physique, etc.

Pour ne rien laisser de côté, vous allez définir des objectifs dans chacun de ces domaines, séparément. C’est une première façon de découper un problème, une vision qui est grande, en des choses plus simples, plus claires et plus réalisables.

On commence par une modification à long terme, puis on va de plus en plus près en découpant ce changement en étapes plus simples.

Ce processus de découpage d’objectifs qui peuvent sembler inatteignables en objectifs à votre portée est très simple. Il suffit de partir du plus gros pour arriver au plus petit.

C’est un peu comme la vue d’avion qu’évoque David Allen dans son livre sur la méthode GTD. On part de très loin, et on se concentre sur une partie pour voir le détail, puis une partie à l’intérieur de cette partie , etc.

Je vous rappelle : Il faut avoir des buts pour pouvoir les atteindre. Mais il faut que ces buts soient atteignables. Il faut que vous puissiez passer à l’action.

Parfois, il est très important de passer à l’action pour savoir où vous voulez aller. Car il y a de nombreuses choses que l’on ne peut pas savoir sans les faire. C’est la différence entre le savoir et l’apprentissage.

Déterminer vos buts spirituels/personnels

Nous allons commencer par le premier domaine : la vie spirituelle/personnelle.

Je vais reprendre la métaphore de David Allen avec la vue d’avion. Imaginez-vous dans un avion à 10 0000 mètres d’altitude, en train de regarder le sol.

De cette hauteur, vous voyez votre vie, et vous pouvez la contempler dans les 4 directions, assez loin. Mais vous ne voyez pas les détails.

Pour voir les détails, il vous faut descendre de peut-être 5 000 mètres. Vous discernez alors mieux les choses, mais la vue panoramique que vous aviez de l’ensemble n’est plus là.

Pour rentrer vraiment dans le détail, il vous faudra encore descendre pour mieux voir où vous êtes et où vous allez.

Pour accomplir votre vision et fixer vos buts, il vous faut accomplir ce même travail de concentration sur les détails les plus proches, graduellement :

  1. en vous basant sur votre vision et votre identité, qu’est-ce que vous pouvez enclencher comme modification à moyen et long terme ?
  2. que voulez-vous avoir accompli dans 5 ans ? Décidez aujourd’hui d’un changement et d’une action à long terme que vous allez accomplir dans l’année qui vient.
  3. en vous basant sur ce que vous voulez avoir accompli dans un an, quelle est l’action ou le changement que vous devez provoquer dans le mois qui vient ?
  4. pour accomplir ce changement dans un mois, que devez-vous faire dans la semaine qui vient, et comment pouvez-vous mesurer ce progrès ?

Si vous continuez à faire dans les 5 ans qui viennent ce que vous avez fait pendant les 5, 10, 20 ans passés, serez-vous satisfait de ce que vous avez accompli ?

À nouveau, prenez le temps de rédiger sur une feuille, et pour votre sphère spirituelle/personnelle vos objectifs pour chacun des termes évoqués : 5 ans, 1 an, 1 mois, 1 semaine.

Comment bien faire ce travail

Tout écrire et tout envisager pour les 5 prochaines années et dans les 6 domaines de votre vie est peut-être un peu costaud pour une seule journée.

Pour rendre ce travail plus facile, mais aussi plus efficace, je vous conseille d’y consacrer 30 minutes chaque jour pendant les 5 prochains jours.

Procédez exactement de la même manière pour votre santé physique, vos relations, votre activité professionnelle, vos finances ou vos loisirs que vous avez procédé pour votre vie spirituelle/personnelle. Commencez par votre objectif à 5 ans puis rapprochez-vous de cet objectif en choisissant des buts plus proches et plus faciles à atteindre à plus court terme.

Cette démarche peut vous sembler rébarbative et scolaire. Je suis partiellement d’accord avec vous sur ce point. C’est l’appréciation de loin.

Laissez-moi tout de suite vous contredire en vous rappelant que votre vie est faite d’habitudes rébarbatives en elles-mêmes. De petites choses qui en soi ne veulent rien dire. Mais ensemble elles forment un tout.

On va nager dans le répétitif, l’habitude. Ce sont vos habitudes qui gouvernent votre vie, pas vos décisions. Ce n’est pas une série de résolutions de nouvelle année qui vont provoquer le changement, mais la mise en place d’une routine, d’un cadre et l’analyse détaillée de ce cadre qui vont vous permettre d’avancer enfin pour exprimer votre vision et accomplir votre vie avec clarté et clairvoyance.

Vous aurez aussi à répéter ce travail de détermination d’objectifs. Refaites chaque semaine le point 4, chaque mois le point 3 et chaque année les autres points 1 et 2.

Conclusion

Vous l’attendez certainement : après l’introspection d’hier et la définition des objectifs aujourd’hui, nous allons aborder la définition des plans demain.

Car à quoi bon réfléchir à toutes ces questions de notre vie si ce n’est pas pour les mettre en action ?

À quoi cela sert-il de voir clair si cette clarté ne nous permet pas d’agir ?

Merci de m’indiquer dans les commentaires si vous avez pu vous aussi faire ce travail et que vous y voyez plus clair dans votre vie, votre vision, vos objectifs.

Si vous avez des questions, c’est aussi le bon endroit pour réagir et partager vos interrogations.

Accomplir sa vie : Définir d’où l’on part

Il est vital de savoir faire le point sur ce que l’on est aujourd’hui, maintenant et ici. Nous ne nous définissons pas parce que nous avons été il y a 5 ans, 10 ans ou 25 ans : nous changeons perpétuellement, et il est nécessaire de refaire le point sur ce que l’on est à un moment.

Pour accomplir notre vie, pour parcourir le chemin que l’on souhaite, il faut d’abord savoir d’où l’on part.

Aujourd’hui, en version très synthétique, je vais vous demander de vous concentrer sur qui vous êtes et vous aider à vous définir pour que vous puissiez ensuite facilement déterminer votre vision de vie, vos buts, et les mettre en œuvre.

Vos rôles

Tour à tour père, mère, frère, mari, sœur, épouse, fils : nous sommes plusieurs choses à la fois. Nous pouvons aussi être auteur, coach, salarié, entraîneur, professeur, amant, volontaire dans une ONG…

Plusieurs choses à la fois. Mais qu’est-ce qui est le plus important, qu’est-ce qui nous prend le plus de temps ou correspond le mieux à ce que nous voulons être ? Vous allez le découvrir par vous-même, et l’exprimer clairement.

Commencez par faire la liste des personnes qui sont autour de vous et à chaque fois, dites quel est votre rôle.

Par exemple, j’ai trois fils : je suis un père.

Voyez, pas besoin d’y aller par quatre chemins. Faites dans la simplicité.

Vos responsabilités

Ensuite, détachez-vous un peu de vos relations et abordez la question de vos responsabilités, celles qui vous occupent soit tous les jours soit sur le long terme, de manière diffuse.

Par exemple, et je prends encore ma situation personnelle : auteur, éditeur, coach dans certains domaines. Mais aussi parent, chef d’entreprises.

Ne pensez pas qu’à vos responsabilités extérieures, mais aussi à vos responsabilités intérieures : prendre soin de mon corps, surveiller mon cholestérol…

Votre contribution

Enfin, faites la liste de vos contributions à des choses extérieures. Des contributions où vous mettez en application votre générosité.

Par exemple, encore une fois pour vous guider, j’étais dans l’association des parents d’élèves de mon plus jeune fils, je contribue dans certains groupes d’auteurs.

Faites la synthèse et pesez

Maintenant reprenez vos listes et déterminez quels sont les rôles qui sont les plus importants dans votre vie. N’oubliez pas que choisir c’est renoncer, et que vous devrez dire, noir sur blanc, que certains rôles sont moins importants que d’autres.

Prenez les 6 ou 7 rôles les plus importants pour vous et notez-les à part dans une liste que vous allez pouvoir garder à l’esprit et qui vous guidera.

Par exemple, voici mes rôles ou sphères d’activité qui sont les plus importants : parent, mari, auteur, chef d’entreprise, développement personnel, autoédition, santé physique.

Vous voilà avec une première liste de rôles importants dans lesquels vous allez pouvoir agir et vous développer pour vous occuper de ce qui est vraiment important pour VOUS. Pas ce qui est important pour d’autres personnes et qu’elles cherchent à vous imposer.

Avez-vous le sentiment que certains rôles ne sont pas à la hauteur, que vous passez trop de temps à faire certaines choses ?

Est-ce que vos buts et vos activités qui vous prennent le plus de temps sont inclus dans un ou plusieurs de ces rôles ? Ou est-ce que vous vous passez votre temps à faire d’autres choses qui ne sont pas de votre ressort ou ne correspondent pas à votre vocation ?

Est-ce que cela serait un changement pour vous de pouvoir vous consacrer pleinement à ces rôles et faire en sorte de respecter de l’équilibre pour chacun d’entre eux ?

Prenez le temps de prendre une feuille de papier, et de répondre par écrit à ces questions.

Vos valeurs

Nous nous exprimons aussi en passant des choses aux autres. Ce sont nos valeurs qui doivent transparaître et permettre d’améliorer notre entourage ou le monde dans son ensemble.

Commencez par la liste des personnes qui sont importantes pour vous, cette liste que vous avez écrite précédemment, et faites la liste des valeurs que vous voulez transmettre à ces personnes.

C’est un peu comme si vous écriviez votre héritage spirituel : à mes fils je veux laisser l’amour, la patience, le goût du travail bien fait, l’adaptation, la rigueur, l’humour et la dérision, la confiance en eux-même et en les autres, l’espoir, la curiosité et l’ouverture d’esprit, la compassion et le respect.

Vous transmettez ce que vous êtes : ce sont donc les valeurs que vous cherchez vous-même à avoir et à développer.

Après avoir noté ces valeurs, vous ferez donc la liste des valeurs que vous cherchez vous-même à mettre en œuvre dans votre vie quotidienne. Pour que cette étape soit efficace, je vous conseille de vous concentrer sur une dizaine de valeurs au maximum. Si vous en trouvez moins, c’est tant mieux : vous aurez ainsi la possibilité de vous concentrer plus sur ces valeurs en particulier.

Plus serait certainement trop, vous pourriez vous sentir submergé par les défis à relever. Vous avez encore du temps devant vous pour exprimer ces autres valeurs et les transmettre à leur tour.

Prenez une valeur, et écrivez une profession de foi sur celle-ci, sur la manière dont vous la mettez en œuvre.

Exemple :

Valeur : respect

Description : j’attache de l’importance à écouter les autres et à reconnaître leur point de vue, leurs aspirations, leurs situations. Je prends en compte l’histoire des gens et leur situation particulière. Je ne méprise pas, même quand je ne comprends pas.

L’engagement passé et la capacité à respecter les contrats fait aussi partie de mes aptitudes. Une parole donnée n’est pas vaine.

Conclusion

Demain, vous allons continuer à construire chacun notre vie et ce à quoi nous aspirons en abordant notre vision et nos buts. D’ici là, passez du temps à faire ces exercices, à vous concentrer sur ce que vous êtes aujourd’hui pour identifier ce qui est important pour vous, ce qui est déséquilibré, ce qui peut être amélioré, et ce que vous laisserez aux autres par votre présence, vos actions, vos idées.

J’espère que vous apprécierez cette définition de votre personne, c’est en définissant des bases solides et précises que vous pourrez développer votre vie et vous accomplir.

Je vous invite à laisser un commentaire si vous avez apprécié cet article, et à partager ce que cet exercice vous a révélé de vous.

Plus qu’un mois pour faire de 2016 une bonne année

Nous sommes le 1er décembre. plus que 30 jours avant la Saint Sylvestre, la fin d’année, le temps d’un bilan et le retour du cycle calendaire.

Que vous reste-t-il à accomplir pendant ce mois ?

Il est important de consacrer aujourd’hui quelques minutes calmes, posées, sans distraction, pour faire le bilan de votre avancement par rapport à ce que vous vous étiez fixé au début du mois.

Il est aussi temps de faire du ménage.

Avec le temps qui vous est imparti, le même que celui de votre voisin, de votre mère, de moi, que pouvez-vous réussir à finir ?

Il vous faudra faire du vide, laisser de côté des choses que vous aviez envie d’accomplir mais qui ne sont pas bien barrées, ou qui vont prendre plus de temps.

Prendre la mesure du temps

Un échec ? Rappelez-vous que ce n’est pas grave : la route qui mène au succès est pavée d’échecs.

Vous êtes-vous rendu compte que ce que vous poursuiviez n’était pas ce que vous aviez vraiment besoin de rechercher ? C’est une bonne chose : au moins ce temps de réflexion vous aura permis de vous rendre compte plus vite que vous poursuiviez les mauvais buts, ceux qui ne contribuent pas à votre bonheur.

Des succès avant l’heure ? Réjouissez-vous-en ! Prenez la pleine mesure de ce que vous avez déjà réussi à accomplir et continuez sur cette voie.

Même si vous n’êtes pas arrivé à votre but final, mesurez quand même la distance qui vous en sépare encore et à quel point vous vous en êtes rapproché en fixant ce but et en accomplissant chaque jour quelque chose pour vous en rapprocher.

Prenez aussi la mesure de ces succès quotidiens et habituez-vous à être quelqu’un qui réussit ce qu’il ou qu’elle veut accomplir. Droguez-vous, grisez-vous avec ces mini-succès et ces étapes franchies. Vous créez ainsi un cercle vertueux où vous êtes plus en phase avec vos aspirations, où vous avancez, où vous êtes plus heureux par ce que vous faites.

Faites le ménage

Faites le ménage dans les choses qui vous sont inutiles et vous encombrent inutilement l’esprit ou vous prennent trop de temps. Tout le monde se bat pour avoir votre attention, et réussit peut-être facilement à avoir celle-ci.

Votre esprit déteste le vide, aussi bien que la nature. Au contraire, vous pouvez le remplir de plein d’infos, de messages. Jusqu’à exploser.

Votre esprit est aussi comme le singe proverbial qui passe son temps à aller d’un sujet d’attention à l’autre.

Or ce qui vous permet d’avancer, ce qui vous permet de concrétiser vos aspirations, c’est le focus. Le fait de regarder une chose avec attention et de vous avancer vers elle.

Faites donc le ménage dans les choses qui vous prennent inutilement votre temps. Qu’il s’agisse d’une activité (la télévision est mon coupable de prédilection), de réseau social artificiel (Facebook et Twitter sont mes cibles de prédilection), de mode de communication (SMS, WhatsApp, email et autres messengers qui bipent à répétition).

Prenez la liste à laquelle vous êtes inscrit et qui vous a amené à cette page…

Est-ce que ce que cette lecture vous a apporté est valable pour vous, est-ce un plus ?

Non ? Pourquoi êtes-vous toujours abonné alors ? Faites des choix.

Choisir c’est renoncer, mais renoncer nous permet de nous concentrer sur ce qui est important pour nous.

Vous recevez sans doute, comme moi, de nombreux emails chaque jour. Dans la plupart de ces emails publicitaires, car ils sont publicitaires, il y a, en bas, souvent caché, un lien pour vous désinscrire. Cliquez sur ce lien. Si vous ne lisez pas ces emails, si vous n’agissez pas en lisant ces emails, jamais, c’est que vous n’êtes pas intéressés.

Cette semaine, j’ai fait le nettoyage, régulièrement, au fur et à mesure. Toutes ces listes auxquelles je me suis abonné, toutes ces personnes que j’ai commencé à suivre parce que leur proposition initiale m’avait intéressé. Mais qu’en ai-je fait ? Rien…

Ce qui compte c’est ce que JE fais, pas ce que je pourrais faire, pas ce que je considère éventuellement faire un jour. Mes rêves n’ont d’intérêt que si je les concrétise.

Le bonheur c’est quand ce que vous pensez, ce que vous dites et ce que vous faites sont en harmonie.

Mahatma Gandhi

Ce qui est important à retenir dans cette citation, c’est le verbe : ce verbe n’est ni le verbe savoir, ni écouter, ni posséder. Le verbe est penser, dire, faire. À chaque fois un verbe d’action.

On n’est pas un génie, on n’accomplit pas de grandes choses, on ne parcourt pas sa vie si on n’agit pas. Passez à l’action.

Faites quelque chose pour vous

Ce que je veux que vous fassiez aujourd’hui, c’est vous désabonner de quelque chose, ou d’arrêter d’utiliser autre chose, Facebook, Twitter, Snapchat, Whatsapp. Sortez de la chambre d’écho.

Désinscrivez-vous des listes qui ne vous intéressent en fait pas.

Simplifiez votre vie, vos choix, vos pensées.

La chambre d’écho c’est cet espace de discussion où vous parlez en fait pour vous-même. Où chacun apparaît un peu comme jouant un rôle.

Savez-vous que les chambres d’écho sont les meilleurs moyens de rendre quelqu’un fou. Juste après les chambres de privation de sens. Enfermez quelqu’un dans une chambre où aucun bruit ne se réverbère, où la lumière est toujours constante. Cette personne deviendra folle. Enfermez-la dans une pièce où tout ce qu’elle dite, pense est répété, elle ne mettra pas beaucoup plus de temps.

Donc, préservez-vous de ces chambres d’écho.

Choisissez que diable ! Démontrez que c’est vous qui choisissez.

Pensez aux autres

La fin d’année aussi approche, et avec elle les célébrations de fin d’année. C’est le moment de retisser les liens avec ceux qui vous sont chers, de leur accorder du temps dans une réelle communion.

Le temps que vous passez avec d’autres personnes, à les écouter et à partager avec eux est un des meilleurs moments de l’année.

Si ces personnes sont toxiques, faites aussi un choix, et choisissez des personnes moins toxiques. Ou dites-leur qu’elles sont toxiques et demandez leur de changer.

Si vous même vous changez, vous progressez, sachez que ces personnes toxiques seront les premières à vous le reprocher. Donc prenez tous leurs reproches comme la marque que vous êtes en train de devenir la personne que vous voulez être.

Dans les yeux des autres personnes, celles qui veulent votre bien réel, vous verrez de l’étonnement au fur et à mesure que vous changez, de la surprise parfois, mais toujours après de la compréhension. Vous pouvez vous appuyer sur cette compréhension pour bâtir des liens plus forts.

Dans un mois, ça recommence

Dans un mois, il sera temps de vous fixer de nouveaux objectifs. On en reparlera à ce moment-là. N’attendez pas le début d’année pour agir, concentrez-vous sur l’instant présent.

Vivez et construisez votre bonheur, brique après brique.

Atteindre le succès : faites le point sur ce premier mois

Voilà 30 jours que je vous ai invité à vous concentrer sur vos objectifs à trois mois pour finir l’année 2016 en beauté et atteindre le succès, les succès.

Mieux vivre, plus sereinement, en atteignant ses objectifs et en ayant du plaisir, du bonheur à atteindre ceux-ci : voilà un des objectifs de cet exercice au long cours.

Encore 2 mois d’ici le 31 décembre 2016, donc ce n’est pas le moment de relâcher ses efforts. Pour vous aider à atteindre vos objectifs ou vous en rapprocher mais aussi à le faire avec bonheur et plaisir, je vous propose aujourd’hui de faire le point sur ce que vous accompli.

Le bonheur vient de nos actions
Continuer la lecture de Atteindre le succès : faites le point sur ce premier mois