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Qui Êtes-Vous, Quels Sont Vos Rôles ?

Cette semaine, j’accompagne ma femme à Paris pour un des plus gros événements de l’année pour elle : le salon Création et Savoir Faire. C’est le plus important salon du Do It Yourself en France, et elle va y présenter ses patrons de couture enfant, ses tissus, et plein d’autres choses.   Je ne serai donc pas très disponible pour vous écrire tous les jours, ou alors courtement. Entre le chargement du camion, le voyage, l’installation du stand et les journées de salon (oui, je suis aussi spécialiste du jersey et du col volanté), mes journées seront bien remplies.

C’est une question de priorité. On ne peut pas tout faire en même temps à 100%. On a différents rôles et en fonction de chaque rôle, il faut pouvoir se consacrer correctement à chacun de ces rôles pour être vraiment efficace. Et quand je dis correctement, je parle souvent de 100%.  

Ce qui m’amène à vous poser une question. D’après vous, quels sont les rôles que vous remplissez dans la vie par rapport à votre travail, votre famille, votre environnement, votre communauté ? Notez sur une feuille de papier, ou mieux, dans un cahier, un journal pourquoi pas quels sont vos rôles, ceux où vous êtes important pour vous-même mais aussi pour les autres. Pas besoin de partager cela avec moi, cet exercice est pour vous.

  Moi, un de mes rôles est d’être à la fois le compagnon et l’amant de femme, tout ce qui est de l’ordre de l’intime, mais aussi de l’accompagner pour qu’elle se réalise professionnellement.   J’ai plein d’autres rôles. Mais cette semaine, c’est celui-ci qui va avoir la primeur sur les autres.  

  Et vous, quel est votre rôle aujourd’hui ? Demain ?  

  Je vous laisse, j’ai un camion à remplir 😉

Toujours passer à l’action

Cette semaine, je vous ai envoyé plusieurs emails pour nourrir votre pensée.

Déjà, il s’agit bien de nourrir, et pas de remplacer ou de diriger vos pensées. Si vous n’êtes pas d’accord avec ce que je dis, d’abord vous avez tout à fait le droit, et ensuite, cela m’intéresse de mener une sains discussion avec vous.  

Mais surtout penser ne suffit jamais.

  Ce qui compte c’est l’action. 

  À la fin de la vie, on ne considère pas ce qu’on a imaginé, ce qu’on aurait pu faire, ce qu’on aurait dû faire. On regarde ce qu’on a fait.

Agir est un des 7 principes des lois du succès. Si l’on n’agit pas, on ne peut pas créer sa vie.

  On peut faire la même chose à la fin de la journée : il vaut mieux éviter d’attendre d’être mort pour apprécier et s’enthousiasmer pour ce qu’on a fait.

  Tous les jours, pendant 2 minutes, prenez le temps de refléter sur ce que vous avez fait aujourd’hui, même s’il s’agit de petites choses.  

P.S. Hier, c’était Thanksgiving aux États-Unis. Quelle que soit votre religion, votre sexe, votre âge, vos croyances, je profite de l’occasion pour exprimer ma reconnaissance envers vous et les gens qui vous entourent. Tous différents, tous pareils.

Comment atteindre le bonheur

Atteindre le bonheur. Voilà un souhait qui vaut son pesant de cacahuètes. C’est d’ailleurs une quête que vous trouverez souvent dans les réponses à la question « quel est ton but de la vie ».

Mais peut-on atteindre le bonheur comme on atteint une destination ?

Le bonheur est-il une fin ?

CC By-SA https://flic.kr/p/48Pkyr

Si vous observez précisément les gens heureux, vous verrez qu’ils ne sont pas heureux parce qu’ils ont réussi quelque chose. Vous verrez qu’ils ne sont pas heureux parce qu’ils ont acquis une maison, une voiture, qu’ils ont atteint le job de leur rêve.

Ce n’est pas une finalité qui définit leur bonheur, mais la manière dont ils accomplissent leur parcours.

Atteint-on jamais ses objectifs de bonheur ?

Il faut crever l’abcès : notre vie ne se définit pas par la quête et la découverte d’un trésor, extérieur ou intérieur. Elle se définit par la quête elle-même.

La finalité de notre vie, c’est la mort. Quand nous aurons disparu de la surface de cette terre, nos richesses, nos biens n’auront plus aucune importance pour nous. Il ne resteront que pour permettre à nos héritiers de s’écharper, de se partager avec véhémence ou pas ces biens.

Par contre, la richesse que nous aurons donné au monde, aux gens, cette richesse restera et permettra aux autres de trouver des fondations pour aller plus loin.

La richesse, la possession en soi ne peut être une finalité. Elle ne peut combler le puits infini du désir humain.


Une fois, il était un roi, riche, puissant et vaniteux. Malgré cet énorme défaut, il était apprécié par ses sujets, et son royaume vivait dans l’opulence. Tout allait bien…

Un jour, il rencontra un mendiant aux abords de son palais, tenant dans ses mains un bol. Ce mendiant était en fait son ancien Maître, revenu au royaume pour lui enseigner encore quelques leçons par la pratique. Mais le roi ne le savait pas.

Le roi, voyant le mendiant, lui demanda ce qu’il voulait et ce dont il avait besoin. Ce à quoi le mendiant répondit qu’il désirait simplement que son bol soit rempli, qu’il soit plein. Qu’il y ait assez. Le roi, vaniteux et orgueilleux, lui promit que ce serait réalisé.

Le roi demanda à son serviteur de remplir le bol de richesses. Celui-ci s’exécuta, mais ce qu’il mit ne suffisait pas à remplir le bol. Au fur à mesure qu’il le remplissait, les pièces disparaissaient, comme englouties par un puits sans fond.

Le mendiant asticota le roi en lui rappelant qu’il s’était engagé à remplir le bol, qu’il avait fait une promesse. Piqué au vif dans son orgueil, le roi répondit qu’il était riche, que son royaume était riche, et qu’il remplirait le bol.

L’incident attira de plus en plus de monde. Le roi fit intervenir son chambellan et lui demanda de remplir le bol jusqu’à ce qu’il soit complet, complètement rempli. Le chambellan fit apporter des richesses à son tour.

Mais au fur et à mesure que pièces, joyaux, grains, animaux et autres richesses disparaissaient dans le bol, il fallait bien que le roi se rende compte de l’évidence : il ne pourrait pas remplir son engagement, qu’il respectait pourtant plus que tout. Il ne pourrait pas remplir ce bol, quels que soient ses efforts, quels que soient les richesses de son royaume.

Il demanda au mendiant de lui expliquer ce sortilège. Comment ce bol de mendiant pouvait-il tout engloutir ? Comment n’arrivait-il pas à sa fin ?

« Ce bol de mendiant, monseigneur, est fait du désir de l’homme. Insatiable, il engloutira tout ce que vous pourrez y mettre sans jamais trouver sa fin ».


Le désir de l’homme ne connaît en effet pas de fin. A-t-il acheté une belle voiture qu’il commence à regarder une voiture plus belle encore. A-t-il achevé d’écrire un livre qu’il commence à en écrire un plus grand encore.

Nous nous convainquons que nous serons plus heureux quand nous aurons quitté le foyer familial de nos parents et que nous serons parents, puis quand nous serons mariés, avec des enfants. Puis nous souhaitons que ces enfants deviennent plus grands, qu’ils acquièrent de l’indépendance. Quand ils sont adolescents, souvent nous espérons qu’ils en sortent qu’ils dépassent ce cap. Nous serons certainement heureux quand ils seront à leur tour partis de notre foyer. Nous nous disons que nous serons heureux avec une plus belle voiture, une plus belle maison, une maison de plus. Que nous pourrons profiter de la vie quand nous serons à la retraite.

Et puis on arrive à l’âge de la retraite. Une maladie grave se déclare et on trépasse. On a passé sa vie à attendre que quelque chose de nouveau se produise pour se déclarer heureux, et on n’a jamais atteint ce bonheur.

D’une certaine manière, cette attente et cet espoir d’arriver à un résultat fonctionne. Obtenir un job important, acquérir un objet désiré peut faire monter notre niveau de bonheur. Un moment. Et on repart en recherche de quelque chose de plus grand, de plus brillant.

À chaque fois qu’un grand esprit s’est penché sur la question, celle du bonheur, il est arrivé à la même conclusion : avoir des richesses, des biens, obtenir des choses ne conduit pas au bonheur.

Donc, non, on n’atteindra jamais le bonheur comme si celui-ci était une destination.

Le bonheur est un chemin, pas une destination

Le bonheur n’est pas à la destination, il est dans le parcours que l’on accomplit. C’est pourquoi ce blog passe autant de temps à se consacrer à la manière dont on accomplit les choses, jour après jour, et comment on tire satisfaction des succès quotidiens, même petits.

Le bonheur est comme une plage de sable : chaque grain est important, et ce n’est que quand il y a des milliards de grains de sable que l’on peut parler de plage.

Ce n’est pas une plage s’il n’y a pas les grains de sable. Vous ne pouvez pas créer une plage comme ça d’un seul tenant. C’est l’accumulation des grains de sable qui fait qu’elle existe.

Cela me conduit à faire deux observations :

  • il faut profiter du chemin et regarder au fur et à mesure chaque pas effectué, apprécier chaque jour avec son lot de succès et de gratitude,
  • si l’on veut accomplir une vie heureuse, il faut que le chemin qui mène vers ces objectifs porte en lui les qualités d’un beau parcours.

Si pour atteindre le bonheur, il faut parcourir un beau chemin, il faut que l’on ait choisi dès le début une ou des destinations qui nous permettront d’avoir ce chemin.

Le bonheur se trouve dans l’action, pas dans la possession.

Napoleon Hill

Devenez une machine à idées

Aujourd’hui, nous allons continuer à viser notre objectif pour la fin de l’année au travers d’un exercice simple :

Je veux que vous notiez sur un cahier, ou mieux, un agenda, 10 idées sur un thème particulier.

10 idées pour vous rapprocher de votre époux ou épouse, 10 idées pour développer votre activité, 10 idées pour mieux vous sentir en société, 10 idées pour étendre votre cercle de relations, 10 idées pour être plus productif, 10 idées pour gagner plus d’argent même.

Ce qui est important dans cet exercice ce n’est pas que vos idées soient bonnes. Il n’est pas important de les juger. Continuer la lecture de Devenez une machine à idées

Mes objectifs pour ces trois dernier mois de 2016

Dans mon article d’hier, j’appelais les personnes qui lisaient à faire leurs commentaires et à noter leurs objectifs pour les trois mois qui viennent, de manière à s’y appliquer ensuite chaque jour, inlassablement.

En y repensant, cela ne me semble pas très honnête de vous demander de faire cet effort de publier, sans annoncer moi-même mes objectifs et ce que je vais faire.

Continuer la lecture de Mes objectifs pour ces trois dernier mois de 2016