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Avez-vous de VRAIS amis?

L’avant dernier grand regret de ceux  qui sont au seuil de leur vie est le
suivant:

« Je regrette d’avoir perdu le contact
avec certains amis »

La vie nous éloigne de nos amis, on
les perd de vue. On est noyés par nos
problèmes.

Finalement, on n’arrive plus à les
joindre. Même avec facebook, il est
difficile de les retrouver.

Or l’amitié se cultive.

Et l’amitié est précieuse.

Beaucoup de gens pense qu’on peut
réussir seul. C’est faux.

La réussite et le bonheur sont liés à
nos amitiés.

L’ami(e) est un miroir, il est possible
de partager avec lui ou elle des pensées
et des sentiments intimes.

Voici quelques citations choisies sur
l’amitié:

« Une amitié qui ne peut pas résister
aux actes condamnables de l’ami n’est
pas une amitié. » Alain

« L’amitié est la similitude des âmes ».
Alcuin

« L’amitié double les joies et réduit
de moitié les peines. » Francis Bacon

« Je considère qu’un ami est celui qui
ne ment pas, ne fait pas semblant et
parle avec toute la sincérité, la
franchise que l’amitié véritable
requiert. » Tahar Ben Jelloun

« L’amitié n’exige rien en échange, que
de l’entretien. »  Georges Brassens

« Pour moi c’est ravir au monde le
soleil que d’ôter de la vie d’amitié. »
Ciceron

« Ceux qui aiment à blâmer sont, par
nature, peu propre à l’amitié. »
Démocrite

« L’amitié, ce n’est pas d’être avec
ses amis quand ils ont raison, c’est
d’être avec eux même quand ils ont
tort. » André Malraux

Et le beau texte de Khalil Gibran:

« Avec vos amis vos vœux trouveront
leur accomplissement.

Ils sont le champ que vous ensemencez
avec amour et moissonnez avec gratitude.

Et ils sont votre table et votre feu.

Car vous ne craignez pas de vous
présenter devant eux avec votre faim et
cherchez l’apaisement en leur compagnie.

Lorsqu’un ami révèle le fond de sa
pensée, vous ne craignez pas de
l’écouter ouvertement, sans craindre de
vous fermer à ce qu’il vous dit, et vous
n’avez pas peur d’aller vers lui avec le
« oui » de l’assentiment.

Et lorsqu’il est silencieux, votre
cœur est encore à l’écoute de son
cœur;

Car en amitié, les pensées, les désirs
et les attentes sont donnés et partagés
sans paroles, avec une joie discrète.

Quand vous devez vous séparer de votre
ami, ne soyez pas affligés; car ce que
vous aimez le plus en lui pourrait vous
être révélé encore plus clairement en
son absence,
comme la montagne que l’on escalade
apparaîtra plus clairement depuis la
plaine.

Et ne cherchez pas à retirer de
l’amitié autre chose que
l’approfondissement de l’esprit.

Car l’amour qui ne vise pas
exclusivement la découverte de son
propre mystère n’est pas de l’amour,
mais un filet que vous auriez tendu:
vous ne saurez qu’y prendre des
tourments.

Que le meilleur de vous-mêmes soit
pour vos amis.

Si vous leur faites connaître vos
revers de fortune, faites-leur connaître
aussi vos succès.

Que faites-vous de l’amitié, si vous
ne recherchez vos amis que pour tuer le
temps?

Recherchez plutôt leur compagnie pour
faire vivre les heures.

Car il leur incombe de combler vos
besoins, mais non pas votre vacuité.

Et dans la douceur de l’amitié
réservez une place pour le rire et une
place pour le partage des plaisirs.

Car c’est par la rosée des petites
gentillesses que le cœoeur redevient
matinal et se rafraîchit. »

Cultivez-vous l’amitié?

À faire passer à vos amis…

Les 3 Portes de la Sagesse

Les portes de la sagesses
Les portes de la sagesses

 

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince
courageux, habile et intelligent. Pour parfaire
son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès
d’un Vieux Sage.

« Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie », demanda
le Prince.

« Mes paroles s’évanouiront comme les traces
de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant
je veux bien te donner quelques indications. Sur ta
route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes
indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin
irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche
pas à t’en détourner, car tu serais condamné à
revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis
t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans
ton cœur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis
cette route, droit devant toi. »

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea
sur le Chemin de la Vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur
laquelle on pouvait lire « CHANGE LE MONDE ».

« C’était bien là mon intention, pensa le Prince,
car si certaines choses me plaisent dans ce monde,
d’autres ne me conviennent pas. » Et il entama son
premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur
le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre,
à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant,
mais pas l’apaisement du cœur. Il réussit à changer
certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
« Qu’as-tu appris sur le chemin ? » « J’ai appris,
répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon
pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi
et ce qui n’en dépend pas ». « C’est bien, dit le
Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce
qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à
ton emprise. » Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde
porte. On pouvait y lire « CHANGE LES AUTRES ».
« C’était bien là mon intention, pensa-t-il.
Les autres sont source de plaisir, de joie et
de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume
et de frustration. » Et il s’insurgea contre tout
ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez
ses semblables. Il chercha à infléchir leur
caractère et à extirper leurs défauts.
Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité
de ses tentatives de changer les autres, il croisa
le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris
sur le chemin ? » « J’ai appris, répondit le Prince,
que les autres ne sont pas la cause ou la source
de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
et de mes déboires. Ils n’en sont que le
révélateur ou l’occasion. C’est en moi que
prennent racine toutes ces choses. » « Tu as raison,
dit le Sage. Par ce qu’ils réveillent en toi,
les autres te révèlent à toi-même. Soit
reconnaissant envers ceux qui font vibrer en
toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers
ceux qui font naître en toi souffrance ou
frustration, car à travers eux la Vie t’enseigne
ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu
dois encore parcourir. » Et le Vieil Homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte
où figuraient ces mots « CHANGE-TOI TOI-MEME ».
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
c’est bien ce qui me reste à faire, » se dit-il.
Et il entama son 3ème combat. Il chercha
à infléchir son caractère, à combattre ses
imperfections, à supprimer ses défauts, à changer
tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout
ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut
quelque succès mais aussi des échecs et des
résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :

Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en
nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres
qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à
briser. »

« C’est bien, » dit le Sage.

« Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à
être las de ma battre contre tout, contre tous,
contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de
cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner,
de lâcher prise. » « C’est justement ton prochain
apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant
d’aller plus loin, retourne-toi et contemple
le chemin parcouru. » Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le
lointain la 3ème porte et s’aperçut qu’elle
portait sur sa face arrière une inscription qui disait

« ACCEPTE-TOI TOI-MEME. »

Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette
inscription lorsqu’il avait franchi la porte la
première fois, dans l’autre sens. « Quand on combat
on devient aveugle, se dit-il. » Il vit aussi,
gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui :
ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites,
tous ses vieux démons. Il apprit alors à les
reconnaître, à les accepter, à les aimer.
Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer,
se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, que détester
ou refuser une partie de moi, c’est me condamner
à ne jamais être en accord avec moi-même.
J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement,
inconditionnellement. »

« C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première
Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème
porte. »

A peine arrivé de l’autre côté, le Prince
aperçut au loin la face arrière de la seconde
porte et y lut

« ACCEPTE LES AUTRES ».

Tout autour de lui il reconnut les personnes
qu’il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu’il
avait aimées comme celles qu’il avait détestées.
Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait
combattues. Mais à sa grande surprise, il était
maintenant incapable de voir leurs imperfections,
leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement
gêné et contre quoi il s’était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. « Qu’as-tu
appris sur le chemin ? » demanda ce dernier.
J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en
accord avec moi-même, je n’avais plus rien à
reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux.
J’ai appris à accepter et à aimer les autres
totalement, inconditionnellement. » « C’est bien, »
dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse.
Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la
face arrière de la première porte et y lut

« ACCEPTE LE MONDE ».

Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette
inscription la première fois. Il regarda autour
de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à
conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé
par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur
perfection. C’était pourtant le même monde
qu’autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé
ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.

« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, dit le Prince, que le monde
est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
pas le monde, elle se voit dans le monde.
Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
Quand elle est accablée, le monde lui semble
triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai.
Il est là ; il existe ; c’est tout. Ce n’était
pas le monde qui me troublait, mais l’idée que
je m’en faisais. J’ai appris à accepter sans
le juger, totalement, inconditionnellement. »

C’est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme.
Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec
les autres et avec le Monde. » Un profond sentiment
de paix, de sérénité, de plénitude envahit le
Prince. Le Silence l’habita. « Tu es prêt,
maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit
le Vieux Sage, celui du passage du silence de
la plénitude à la Plénitude du Silence ».

Et le Vieil Homme disparut.

Texte de Charles Brulhart, Décembre 1995

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La vraie valeur des choses illustrée avec un billet de 50 euros-)

histoire positive
histoire positive

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 50 Euros.

Il demande aux gens :  « Qui aimerait avoir ce billet ? »

Les mains commencent à se lever, alors il dit :

« Je vais donner ce billet de 50 Euros à l’un d’entre vous mais avant laissez-moi faire quelque chose avec. »

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

« Est-ce que vous voulez toujours ce billet ? »

Les mains continuent à se lever.

« Bon, d’accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. »

Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande :

« Qui veut encore avoir ce billet ? »

Évidemment, les mains continuent de se lever !

« Mes amis, vous venez d’apprendre une leçon…

Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changé, il vaut toujours 50 Euros. »

«Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les événements.

Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n’aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

La valeur d’une personne ne tient pas à ce que l’on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte. »

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La jarre abimee – Histoire positive

Un porteur d’eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.

L’une des jarres avait un éclat, et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

 

Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.

 

Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.

Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.

 

Au bout de 2 ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.

 
« Je me sens coupable, et je te prie de m’excuser. »

 

« Pourquoi ? » demanda le porteur d’eau. « De quoi as-tu honte ? »

 

« Je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau

à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui

fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et,

à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau.

Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts »,

lui dit la jarre abîmée.

 

Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein

de compassion, répondit: « Pendant que nous retournons à

la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs

magnifiques qu’il y a au bord du chemin ».

 

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long

de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs

baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit

du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait

toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié

de son eau.

 

Le porteur d’eau dit à la jarre « T’es-tu rendu compte qu’il

n’y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune

du côté de la jarre parfaite? C’est parce que j’ai toujours su

que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti.

 

J’ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et,

chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.

Pendant 2 ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques

fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais  je n’aurais

pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. »

 

Morale de l’histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.Certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent pas par leur intelligence, d’autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d’autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout.

Il y a beaucoup de bon en vous !

 

Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être
déformés. Souvenez-vous d’apprécier tous les gens si différents
qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

Merci d’apprécier amicalement mes imperfections – et, plus important pour vous – d’apprendre à aimer les vôtres ! 🙂

 

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Le cric

Un représentant crève un pneu en rase campagne.

Il ouvre son coffre cherche son cric… en vain.

Pas de cric.

Comme il est sur une petite route de campagne, en plein mois de juillet il se dit que personne ne va passer par là pour le secourir.

Il décide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher au loin, pour emprunter un cric.

Le chemin est long, il fait chaud, et en route, il se dit:

« Est-ce qu’il vont seulement avoir un cric à me prêter ? »

Il avance encore, et, tout transpirant, se dit :

« Et je connais les gens du coin, ils n’aiment pas les étrangers ! »

Il marche encore, et se dit :

« Ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prêter, ce cric ? »

Et il continue ainsi, s’imaginant les scénarios les plus désagréables, étant pris à parti par les villageois qui trouvent louche qu’il veuille emprunter un cric, proposant de l’acheter, personne ne voulant
lui en vendre un, etc. etc.

Il s’approche du village, de plus en plus énervé intérieurement, se met sur la place du village, et hurle :

« Eh bien, puisque c’est comme ça, votre cric, vous pouvez vous le garder !!! »

o 0 o

Combien de fois nous imaginons-nous ainsi des objections qui ne seront jamais levées, des craintes sans fondement, et combien de fois,  n’osons-nous pas demander par peur d’être rejeté ?


« Beaucoup de gens croient qu’ils pensent alors qu’ils remettent seulement en ordre leurs préjugés. »
William James


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Christian Godefroy – 25/10/1948 – 17/11/2012

Photo de mon père prise à Lobelha le 12 août 2007
Photo de mon père prise à Lobelha le 12 août 2007

Il y a un an aujourd’hui, mon père Christian Godefroy est mort d’une crise cardiaque en rentrant de quelques courses à son appartement de Miami. Après quelques minutes dans les bras d’Emilia, l’ambulance est arrivée mais n’a rien pu faire pour le sauver.

Personnage public, il était connu en tant qu’auteur de livres de développement personnel et de copywriting. Il était connu de milliers de personnes pour avoir dirigé les Editions Godefroy en France, puis avoir créé le Club Positif au début des années 2000. Ce Club Positif a permis à de nombreuses personnes de trouver de l’aide pour améliorer leur vie, pour mieux comprendre comment diriger leur existence et réaliser leurs rêves.

Il n’a eu de cesse de partager sa passion pour ses métiers : auteur, éditeur et copywriter. Avec à la clé le succès qu’il méritait : la gratitude des gens qui lui ont fait confiance.

Merci papa !

Cyril Godefroy